L’AIE appelle à un changement de paradigme

Publié le 27/09/2021

6 min

Publié le 27/09/2021

Temps de lecture : 6 min 6 min

Depuis plusieurs mois, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a multiplié les rapports et les études incitant les États à favoriser les politiques publiques et les investissements dans la transition énergétique et un monde décarboné. Ce 27 septembre, elle vient d’annoncer son intention de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de ses activités à un niveau net zéro d’ici 2024. La publication en mai dernier de sa feuille de route « Net Zero by 2050 », en vue de la 26e conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP26) prévue en novembre 2021 à Glasgow, a eu un effet retentissant. Dans cette voie « étroite mais toujours réalisable » tracée par l’AIE, qui nous permettrait de réduire les émissions de dioxyde de carbone à presque zéro et de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C, les énergies fossiles doivent considérablement décroître. Tel est le défi pour assurer la viabilité d’un système énergétique mondial encore très largement dominé par le pétrole, le charbon et le gaz, malgré la montée en puissance…

Cet article est réservé aux abonnés de Gaz d'aujourd'hui, abonnez-vous si vous souhaitez lire la totalité de cet article.

Je m'abonne