« La digitalisation est au cœur de notre projet d’entreprise. Nous sommes convaincus que les nouvelles technologies sont un tremplin vers la performance »

Publié le 29/06/2020

11 min

Publié le 29/06/2020

Temps de lecture : 11 min 11 min

Laurence Broseta a été nommée en novembre 2019 à la tête d’Antargaz, fournisseur multi-énergies : bouteilles butane et propane, gaz en citerne, GPL carburant, gaz naturel et électricité. Depuis plus de 80 ans, Antargaz occupe une position de leader sur le marché des gaz de pétrole liquéfiés (GPL) en France. Pour Gaz d’aujourd’hui, la présidente d’Antargaz revient sur la crise sanitaire liée au coronavirus, sur les enjeux de la relance et sur la stratégie mise en place par son entreprise pour accompagner la transition énergétique sur nos territoires.

Propos recueillis par Laura Icart

 

Quels ont été les impacts de la crise sanitaire que nous traversons depuis plusieurs mois sur vos activités et sur votre organisation interne, notamment pendant le confinement ?

Antargaz Énergies a continué tout au long de la crise du Covid-19 d’accompagner ses clients particuliers et professionnels. Une nécessité absolue puisque, en plus des clients particuliers pour lesquels le gaz est un produit indispensable à la vie quotidienne, certains de nos clients professionnels sont des entreprises des domaines de la santé ou de l’alimentation. En interne, nous avons adapté rapidement notre organisation en fonction de l’activité de nos équipes pour permettre aux 1 200 collaborateurs du groupe de travailler en toute sécurité et de poursuivre les livraisons chez nos clients. Les personnels travaillant sur nos sites industriels et les chauffeurs-livreurs assurant la distribution de nos produits jusqu’aux clients finaux ont été mobilisés à plein temps. Les personnels de bureaux [500 personnes, NDLR], dont l’activité dans certains cas est indispensable à la continuité du service, se sont réorganisés en télétravail en juste 24h. Cette adaptation a constitué une petite prouesse, réalisée dans un délai record et qui, après quelques ajustements techniques, s’est avérée rapidement efficiente. Quant aux commerciaux et techniciens qui n’ont pas pu travailler, nous avons dû recourir au chômage partiel pour 100 % des équipes. Cette organisation nous a permis d’assurer notre mission et la continuité de nos activités…

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